Témoignages

C’était tout le monde en parle (1/3)

Il y a tout juste 20 ans, à la rentrée 1998, démarrait une émission qui allait révolutionner la télévision et changer nos samedis soir. Souvent drôle, parfois intelligente, toujours alcoolisée et volontiers vulgaire, Tout le monde en parle mêlait la désinvolture d’une petite soirée entre potes au clinquant d’un dîner dans le grand monde. Voilà pourquoi ceux qui la regardaient ne l’ont pas oubliée. Ceux qui la faisaient non plus. Ils dévoilent ici les secrets de cette émission culte.
Illustration pour C’était tout le monde en parle (1/3)
Photos: Renaud Bouchez pour Society

LE CASTING

Thierry Ardisson, animateur et producteur
Laurent Baffie, sniper
Laurence Tricoche, rédactrice en chef
Serge Khalfon, réalisateur
Méline Blanc-Micciché, assistante à la réalisation
Michèle Sarfati, décoratrice
Jean-Bernard Favero-Longo, directeur de la photographie
Béatrice Ardisson, illustratrice sonore (et ex-femme de)
Isabelle Siri, chargée de la préparation des fiches
Kader Aoun, auteur
Stéphane Ribeiro, auteur
Frédérique Arnoux, scripte
José Sanz Navarro, monteur
Patrick Dross, chauffeur de salle
Philippe Corti, DJ en charge du blind-test
Jessie Focosi, alias Thallia, danseuse
Gérard Darmon, acteur et invité récurrent
François Berléand, acteur et invité récurrent
Bruno Solo, acteur et invité récurent
Benoît Poelvoorde, acteur
Simon Liberati, écrivain
Laurent Garnier, DJ
Marc-Olivier Fogiel, journaliste et animateur (télé, radio)
Yves Bigot, directeur général de TV5 Monde et ancien directeur des programmes de France 2
Daniel Schneidermann, journaliste médias

Épisode suivant : C’était tout le monde en parle (2/3) 

Tout le monde en parle

Society #87

Expérience
Un visage rouge avec une barbe noire est entouré de motifs psychédéliques : serpents jaunes, fleurs roses, feuilles, un crâne jaune sur un oiseau bleu, et une main tenant une seringue. Une figure humaine jaune avec une tête de poisson est également présente.
Illustrations: Freak City pour Society

Génération Ayahuasca

À Berlin, Barcelone, San Francisco, New York, c'est le dernier psychotrope à la mode. L'ayahuasca, ce mélange de deux plantes amazoniennes offrant à ses adeptes une expérience de plusieurs heures, équivaudrait à “dix ans de thérapie” en une nuit. Un succès tellement fulgurant et médiatique qu'il appelle quelques questions: aurait-on enfin trouvé un remède miracle contre la dépression et d'autres maladies ? Ou le business n'est-il pas trop florissant pour être honnête ?

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