Il y a quelques semaines, les clichés de trois ruines dans la jungle argentine déterraient de vieilles histoires de nazis : les maisons auraient servi de refuge à un haut gradé du IIIe Reich, Martin Bormann. Ce portfolio complète le reportage à San Ignacio, dans le Nord-Est argentin, publié dans Society #4 (en kiosque).
Par Léo Ruiz / Photos : Nicolas Janowski
1 / 21
La Ruta 12, qui relie Posadas, la capitale de Misiones, aux chutes d’Iguazu, la principale attraction touristique du coin.
2 / 21
Posadas. Des locaux attendent de traverser la frontière entre l'Argentine et le Paraguay.
3 / 21
Posadas. Des locaux pêchent et se reposent au bord du fleuve Parana.
4 / 21
La Ruta 12, toujours. Et un palmier.
5 / 21
San Ignacio, dans la province de Misiones. Un enfant promène son cheval sur la route du parc national de Teyu Cuaré.
6 / 21
L'entrée de San Ignacio.
7 / 21
Les indigènes de la communauté Guarani à San Ignacio.
8 / 21
La maison où aurait vécu Bormann, dans le parc national Teyu Cuaré.
9 / 21
Coin cuisine.
10 / 21
Le lieu est devenu “culte” pour certains sympathisants nazis.
11 / 21
La maison, construite sur un modèle européen, tombe aujourd'hui en ruine.
12 / 21
Le parc de Teyu Cuaré, vue sur le fleuve qui sépare l'Argentine du Paraguay.
13 / 21
Maria del Carmen devant chez elle, près de la route qui mène au parc Tayu Cuaré.
14 / 21
Ruben, le mari de Maria, casquette à l'envers.
15 / 21
Spectacle son & lumière aux ruines de San Ignacio.
16 / 21
Le spectacle attire les touristes.
17 / 21
Des aborigènes de Guarani, la nuit, près du parc national Teyu Cuaré.
18 / 21
Esteban Romero, maire de San Ignacio, sur son trône.
19 / 21
Eduardo Ramirez, faux airs de Bernard Kouchner, est le responsable de l'office du tourisme de San Ignacio.