Le changement climatique, Twitter, Trump, le racisme en Amérique, l'appropriation culturelle et même la guitare: l'écrivain américain Jonathan Franzen a des choses à dire.

Déjà plus d'une quinzaine de victimes. Depuis le début de l'année, des équidés se font tuer aux quatre coins de la France, sans raison apparente mais avec toujours la même signature: une oreille coupée. Rituel satanique? Défi internet ? Tueur qui s'échauffe avant de s'attaquer aux humains? Pour l'heure, toutes les théories sont permises. Et effrayantes.

Elles sont une petite dizaine sur les réseaux sociaux, et cumulent des centaines de milliers de followers. Les influenceuses de la chasse y posent en treillis, avec des fusils à lunette ou des sangliers morts. Une aubaine pour les marques spécialisées, quelques grandes enseignes et même pour la Fédération nationale des chasseurs.

À première vue, le vélo semble être l'un des grands vainqueurs de la vie post-Covid, avec une explosion du nombre de ses utilisateurs. À seconde vue, les Français qui s'y sont (re)mis rencontrent quelques difficultés.

En 2008, Françoise Barré-Sinoussi et Luc Montagnier obtenaient le prix Nobel de médecine pour avoir isolé, 25 ans plus tôt, le virus du sida. Aujourd'hui, la première est à la tête du comité d'experts de l'Élysée sur le coronavirus, quand le second s'est ostracisé en s'enfonçant dans le complotisme. Deux trajectoires opposées qui en cachent d'autres: celles des scientifiques ayant travaillé dans la même équipe, avant d'être les grands oubliés d'une récompense aux allures de malédiction. Et qui rappellent, en ces temps de course au vaccin, combien le monde de la recherche médicale peut être violent.

Éric Piolle, maire écologiste de Grenoble, pense déjà au coup d'après. Son but: exporter à l'échelle nationale son modèle d'union de la gauche, ou plutôt ce qu'il appelle “l'arc humaniste”. Reste à trouver les flèches.

Ils ont l'âge de gambader sur TikTok ou Snapchat. Mais c'est sur LinkedIn, le réseau social des adultes qui soignent leur carrière, que débarquent de plus en plus de collégiens et de lycéens. Un signe des temps?