La passion estivale

Passion Drag Race

Avec Manon Bril, historienne et vidéaste
Une personne est assise sur un toit, portant une chemise colorée avec des motifs de soleil et d'étoiles, un jean retroussé, des chaussettes à motifs et des baskets blanches. En arrière-plan, on voit une vue urbaine avec des bâtiments et un ciel bleu parsemé de nuages.
  • Noémie Pennacino
  • 2 min.
  • Chronique

Nous, les meufs, hétéros ou gays, et toute la communauté queer, on dit que Drag Race France, c’est notre Coupe du monde à nous. C’est diffusé pendant l’été, on regarde ça dans les bars, on fait des viewing parties, avec des drag-queens qui animent la soirée. On passe l’épisode, on hurle quand la drag-queen qu’on adore risque d’être éliminée ou au contraire quand elle a gagné, il y a une ambiance de fou.

Society #260

Illustration pour “Je ne devrais pas le dire, mais j’en ai un peu marre de bouffer”
Photos : Aliocha Boi pour Society

“Je ne devrais pas le dire, mais j'en ai un peu marre de bouffer”

Va-t-on continuer encore longtemps à mettre du zaatar partout? Qu’est ce qui va remplacer la mode du bánh mì? Top Chef rend-il ses lauréats fous? Les grands chefs sont-ils aussi méchants qu’on le croit? À toutes ces questions, François-Régis Gaudry, l’homme qui incarne le mieux la folie fooding qui déferle sur la France depuis quinze ans, a des réponses.

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