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Attention, ça bout!

D'abord fêtes underground, les Boiler Room sont devenues les plus grandes soirées de la planète, à coups de gros noms et de marketing. L'endroit où il faut être. Ou être vu(e)?
  • Par Grégoire Belhoste - Photos: Frankie & Nikki
  • 4 min.
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Une foule de personnes se déplace dans un grand espace intérieur baigné d'une lumière rouge intense, créant une atmosphère floue et immersive.
Photos: Frankie & Nikki pour Society

L’horloge indique 18h, en ce vendredi de printemps. C’est le début d’un “marathon” de musique pour les fêtards qui convergent vers le Parc floral du bois de Vincennes. Cela fait maintenant plusieurs semaines qu’ils attendent l’événement. Un premier jour de festivités a d’abord été annoncé à l’automne, puis un deuxième, avant que ne soient dévoilés le line up et le lieu du rouleau compresseur de la fête globalisée: Boiler Room. Il faut passer deux barrières de sécurité pour arriver à l’épicentre de la bringue, 12 000 mètres carrés de dancefloor où rien n’a été laissé au hasard. On y trouve des stands de burgers, de hot-dogs ou de pizzas, trois bars servant eau, bière ou Moscow Mule à 15 euros, et surtout un vaste espace où défile une sélection pointue de DJ house ou techno. Richie Hawtin, Boys Noize ou Teki Latex sont au programme, parmi beaucoup d’autres.

Society #257

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